Editorial (Français)

 

25 octobre 2018

Les langues de la page d’accueil INST sont les langues adoptées par l’ONU plus l’allemand. Depuis la création de TRANS, les contributions ont été publiées principalement en allemand, anglais et français.

Selon les cas, d’autres langues ont été utilisées au niveau de l’INST, ceci dans le cadre des conférences et de leurs versions imprimées, notamment l’italien, le russe, l’espagnol, l’ukrainien et le hongrois. Dans la revue TRANS 25 au moins le turc y sera ajouté. Dans TRANS 22 et TRANS 23, les langues de publication ont été élargies à l’arabe car ceci correspond aux langues du colloque organisé à l’Université d’Oran 2. Les colloques ont eu lieu du 23 au 25 avril 2017 (programme) et du 10 au 14 mars 2018 (programme) à l’Université d’Oran 2.

Il s’agit de conférences intéressantes d’une grande importance pour l’Algérie mais également pour la Méditerranée. Des reportages ont été publiés par diverses chaînes de télévision et journaux quotidiens. 93 contributions ont été publiées dans TRANS 22 en arabe, allemand, anglais et français. Par la suite de nouvelles contributions y ont été ajoutées.

En outre, ces chiffres jouent un rôle dans la préparation du Forum sur l’Afrique qui se tiendra le 18 décembre 2018 dans le cadre de la présidence autrichienne du Conseil de l’UE à Vienne. Il existe également des corrélations avec le quantum phare de l’UE: https://qt.eu/Dans le cadre du projet relatif au Musée Digitale Mondial sur les Montagnes (World Museum of Mountains), une expédition dans la région du Tassili a également été organisée. Les langues de base de ce projet sont l’allemand, le français, l’anglais et l’arabe. Les contributions à TRANS 23 sont régulièrement publiées – dans le cadre d’un projet du Centre Polylog. Depuis le début, c’est le Pr. Dr. Gertrude Durusoy (Izmir), qui était responsable de l’édition française jusqu’à sa mort. Pr. Dr. David Simo (Yaoundé) a joué également un rôle important. Grace à son colloque il a initié une nouvelle qualité d’activités africaines. Depuis le colloque d’Oran, il s’agit maintenant du Pr. Dr. Aoussine Seddiki (Aïn Khedidja, Mers El Kebir), qui a repris les traductions et les éditions. En 2005 il a participé à une conférence INST à Vienne. Aujourd’hui, il est partenaire non seulement de TRANS, mais également du Polylog Afrique-Europe, le musée numérique mondial de la montagne (notamment: Tassili).Cependant, le français ne joue pas seulement un rôle essentiel en relation avec l’Afrique. Le ministre Jack Lang était membre du conseil d’administration de l’INST. La coopération avec le Pr. Dr. Gilbert Badia et Pr. Dr. Félix Kreissler (Rouen) a joué un rôle important dans le contexte de la résistance. La communication avec l’UNESCO s’est partiellement déroulée en français. Une centaine de scientifiques français ont participé aux projets, ainsi que des collègues canadiens.

Une des idées fondamentales de TRANS consiste à créer un niveau de communication commun malgré la diversité des langues. Cela devrait être rendu possible à l’aide des résumés, mais également à partir de vues d’ensemble.

L’objectif de TRANS 25 consiste à rendre hommage à certains des acteurs qui ont joué un rôle de premier plan dans cette discussion scientifique – l’émergence d’un Polylog. A compter d’octobre 2018 il s’agit des chercheurs suivant: Pr. Dr. Knut Ove Arntzen (Bergen / Norvège), Pr. Dr. Alexander Belobratow (Saint-Pétersbourg), Prof. Dr. Anil Bhatti (New Delhi), Pr. Dr. Gertrude Durusoy (Izmir) (+), Pr .Dr. George Guţu (Bucarest), Pr. Dr. Arne Haselbach (+), Prof. Dr. Peter Horn (Johannesburg), Pr. Dr. Aleya Khattab (Le Caire), Pr. Dr. Naoji Kimura (Tokyo), Prof. Dr. Lichtmann (Budapest), Prof. Dr. Aoussine Seddiki (Aïn Khedidja | Mers El Kebir), Pr. Dr. David Simo (Yaoundé), Pr. Dr. Zhang Yushu (Pékin). En outre, il existe environ 50 entretiens documentés depuis les années 1980, qui sont déjà imprimés, ainsi que des enregistrements de films (discussions avec 12 scientifiques sur leurs travaux) et plus encore.

Cela devrait également rendre les contextes compréhensibles: nature de la participation ou de la conception de forums par l’UNESCO, l’Union européenne, l’Asie de l’Est, l’Afrique centrale, l’Afrique du Nord, l’Amérique latine, les États-Unis et également dans le contexte d’une mondialisation à visage humain de la science. Ils constituent une particularité dans les tentatives de création de synergies, l’utilisation de nouvelles technologies et la mise en forme de processus sociaux par le biais de suggestions.

Ces forums étaient axés sur les langues, les littératures, les arts, les sciences, la recherche et la production de connaissances, en particulier dans le contexte des nouvelles technologies telles que la numérisation et les technologies quantiques, auxquelles plusieurs éléments fondamentaux ont été et seront apportés. Cela a donné lieu à d’importantes impulsions – telles que les moteurs de recherche ouverts, la création d’instituts Europa, la résolution culturelle de l’UE, la structuration de la recherche quantique.

Wiss.Dir.Dr. Herbert Arlt
éditeur
Pr. Dr. Aoussine Seddiki
Traducteur