KAFI Khaled,
AIT AMAR MEZIANE Ouardia
Université de Tiaret
Résumé
Aujourd’hui, la plupart des enseignants et des étudiants utilisent les supports de technologie soit pour véhiculer des connaissances ou pour communiquer au quotidien.
L’usage des TICE par les enseignants devra s’accroître pour la simple raison que les étudiants ne cessent de s’approprier ces outils numériques pour les utiliser dans les différentes situations d’enseignement ou d’apprentissage.
Le rôle des enseignants est d’exploiter ce potentiel dans les différentes activités à caractère didactique et pédagogique liées soit à la prestation de cours ou à la recherche documentaire.
Notre recherche veut clairement valoriser les TIC dans un domaine où l’apprentissage des langues est une fin et que la maîtrise des outils numériques contribue davantage à atteindre cet objectif. Notre expérience à travers la formation aux TIC a montré combien les apprenants ont manifesté leur intérêt et leur motivation dans les pratiques pédagogiques.
Abstract
Nowadays most of the teachers and students use digital technology either to convey knowledge or to communicate daily. The teachers’ use of these ICTs is expected to increase for the mere reason that students are constantly taking ownership of these digital tools using them in different teaching/learning situations. The teachers’ role is to exploit this potential in the different didactic and pedagogical activities in connection either with lecture performance, documentary research, supervision or evaluation. The current research clearly intends to valorize the ICTs in a field where language learning is an end and the digital tools mastery contributes much more in the attainment of this goal. From our own experience, by means of ICTs training, has demonstrated how much interest and motivation learners have expressed in teaching practices.
Mots clés : TICE, intégration, compétences numériques, usage pédagogique, enseignement, langue.
Durant plus de deux décennies, les TIC n’ont cessé de se développer et de s’intégrer dans le monde de l’éducation et de l’enseignement supérieur. L’intégration des TIC dans les établissements supérieurs a beaucoup aidé les enseignants et les étudiants pour véhiculer des connaissances ou comme outil d’appui dans le processus enseignement/ apprentissage des langues.
Les recherches ont montré que les TIC pouvaient jouer un rôle essentiel dans l’enseignement et l’apprentissage des langues si toutefois les enseignants bénéficiaient d’une formation sur l’usage pédagogique des TIC.
N’oublions pas que ces étudiants deviendront plus tard des formateurs en langues et réaliser avec eux des exemples concrets est une tâche prioritaire (Cleary, Akkari et Corti, 2008).
Karsenti, Pereya et Viens (2002) estiment que la formation initiale des formateurs (futurs enseignants) pourrait rendre l’acte pédagogique plus intéressant. Tiemtoré (2006) par contre, considère que les enseignants (dans le contexte africain) ne portent aucun intérêt sur l’usage des TIC en classe.
Les départements de langues en Algérie ont du mal à concrétiser ces théories sur le terrain pour des raisons multiples : manque de formation et de spécialistes en TICE, volume horaire insuffisant, manque d’infrastructures , d’équipements et de salles multimédia. Les dispositifs d’apprentissage médiatisés peuvent aider les étudiants à apprendre les langues et développer leurs compétences linguistiques[ CITATION Nic12 \p 111 \l 1036 ]. Puren estime que l’approche de l’enseignement d’une langue fondée sur les tâches accélère selon lui l’émergence de la perspective actionnelle dictée par le CECRL (2000,15). Il propose aussi d’envisager que l’usager et l’apprenant d’une langue soient des acteurs sociaux ayant à accomplir des tâches qui ne sont pas seulement langagières. L’échange d’information et la résolution de problème peuvent être des exemples incontournables dans l’apprentissage médiatisé.
L’UNESCO et Microsoft (2011) accordent une grande importance à l’acquisition des compétences techniques dans l’éducation et dans l’enseignement.
En intégrant les TIC, l’enseignant a un nouveau rôle dans la gestion de sa classe pédagogique, celui-ci ne pourra réussir que s’il structure son environnement d’apprentissage en favorisant davantage l’interaction et l’apprentissage collaboratif. Ceci devra dicter au formateur de nouvelles aptitudes et des conceptions innovantes dans l’activité professionnelle.
L’Algérie n’est pas isolée de cette politique qui depuis les années deux mille, plusieurs projets multimédia ont permis à de nombreux foyers d’avoir un ordinateur et une connexion Internet1. Ceci s’inscrit dans la politique de l’alphabétisation du citoyen en général et l’apprenant en particulier. L’accès à la technologie facilite l’acquisition de nouvelles connaissances où l’enseignant et l’étudiant sont les premiers privilégiés.
Des centaines de lycées et de collèges ont bénéficié d’une salle multimédia pour exercer et acquérir de nouvelles compétences transversales liées aux autres compétences disciplinaires2.
L’État algérien n’a pas manqué à recouvrir l’ensemble des établissements de l’enseignement supérieur y compris les centres de recherches qui sont fortement liés à l’intégration des TIC. L’État a mis à la disposition du système scientifique une infrastructure technologique et des outils de communication[ CITATION Kha05 \l 1036 ] pour en citer des salles de téléenseignement et de visioconférence, des bibliothèques virtuelles (le portail SNDL)3. L’AUF a contribué avec l’accord de l’État à la mise en place du projet ide@ ayant comme objectif le lancement de la formation ouverte et à distance principalement pour les Écoles d’Enseignement Supérieur d’Oran, de Constantine et d’Annaba.
Le public qu’on a ciblé est composé d’une cinquantaine d’enseignants et d’une centaine d’étudiants de tranches d’âges différentes (de 28 à 62 ans) appartenant au département de lettres et langues étrangères.
Pour réaliser cette enquête, nous avons opté pour un questionnaire diffusé en ligne via le Cloud4 de Google et intégrant notre vision constructiviste envers les TIC.
Nous avions la conviction qu’envoyer via la messagerie électronique un formulaire que l’enseignant et l’étudiant recevront directement via un courriel faciliterait les choses. Le questionné répondra et n’aura qu’à envoyer son document en cliquant sur un bouton interactif.
Il faut dire aussi que Googleforms -qui est une application de Drive de Google- permet non seulement de concevoir des activités en ligne à travers des questions ouvertes, semi ouvertes ou fermées mais aussi d’introduire des images ou des vidéos.
Elle permettra aussi d’avoir des réponses automatiques qui peuvent être exploitées facilement dans l’évaluation et on n’aura pas besoin de maîtriser les tableurs ou les logiciels d’analyse statistique.
Le plus grand problème auquel nous nous sommes heurtés réside dans la collaboration des enseignants qui étaient hésitants par rapport aux étudiants et nous nous sommes contentés d’analyser la moitié de ce qu’on espérait ramasser bien que la durée d’un mois soit suffisante pour avoir un feedback et permettra de réajuster notre implication à l’égard des TIC.
Le questionnaire était réparti en plusieurs rubriques progressives à savoir des informations générales, des questions faisant référence à l’acquisition des compétences liées à l’intégration des TIC et enfin des propositions quant à l’usage des outils numériques dans l’enseignement et l’apprentissage des langues.
Google Drive nous a permis de réaliser directement des représentations univariées et bivariés sous forme d’histogrammes ou de secteurs à partir des résultats obtenus.
L’UNESCO et Microsoft (2011) présentent trois types de compétences TIC pour les enseignants et les apprenants. Les compétences liées à l’alphabétisation technologique, celles liées à l’approfondissement des connaissances et enfin celles liées à la création de connaissances.
L’analyse des données montre que 86 % des enseignants disposent d’un laptop et 77 % d’entre eux ont aussi un PC de bureau et près de 60 % ont des Smartphones. Ceci consolide bien la théorie de la mobilité qu’offre la technologie pour faciliter leur utilisation. Les enseignants pour la plupart utilisent soit des laptop ou des notebook et ceci explique bien que les utilisateurs deviennent des nomades.
La plupart de ce public utilise le système d’exploitation Windows à cause de sa simplicité et que 50 % trouvent des difficultés avec OS Androïde.
Ce public estime vis-à-vis des TIC que près de 67 % ont un niveau intermédiaire et 33 % ont un niveau avancé.
La majeure partie 95% accède à Internet de leur domicile et 60 % à l’université mais n’oublions pas que la possession du Smartphone a imposé une connexion 3 ou 4 G à 50 %. 77 % des enseignants estiment qu’Internet est un outil de travail incontournable mais aussi un moyen pour s’approprier des cours et apprendre.
L’ensemble des enseignants de langues semblent maîtriser les logiciels de traitement de texte, ceux de la présentation et ceux de la communication par courriel. Les exerciseurs comme (hotpotatoes) et les logiciels d’analyse textométrique sont méconnus pour la plupart des questionnés.
Les outils de création de page web ou les éditeurs de blog n’intéressent guère ce public bien qu’ils soient des outils de communication pesante et pourtant quelques enseignants universitaires marquent leurs contributions à travers des sites personnels.
14% des enseignants utilisent un PC en classe de cours mais 62% l’utilisent avec un vidéo projecteur pour projeter des documents textuels ou vidéo et près de 38 % utilisent des PC avec des sonorisations pour travailler les compétences liées à l’oral. Les obstacles qui freinent l’intégration de ces équipements sont d’abord le manque de salles multimédia et de laboratoires alors que 53% jugent que le matériel est insuffisant.
95 % des enseignants estiment que les objectifs pédagogiques sont mieux atteints lorsqu’on introduit les TIC.
Plus de 68% ne consultent pas le site de l’université et ce qui reste l’utilisent pour actualiser leurs connaissances ou télécharger des formulaires. Une minorité s’intéresse à la plateforme Moodle bien que la plupart de ce public soit favorable pour diffuser des cours et bénéficier de l’enseignement à distance. Cette contradiction peut s’expliquer par le fait que la plupart n’a aucune idée sur cet outil mis en ligne malgré l’existence de journées de formations programmées par l’administration. Il faut dire aussi que de nombreux problèmes techniques liés à la gestion de Moodle gênent son utilisation.
Pour la majorité des questionnés, la création d’un site pour le département favorise l’échange avec les étudiants et facilite la diffusion du savoir mais là encore, la conception et la veille de site nécessitent un personnel qualifié.
Ceci pourrait se justifier par le fait que l’échange soit rapide et motive davantage les apprenants avec un gain de temps. Chaque étudiant s’implique principalement à travers son tuteur et cela peut consolider le cours de présentiel.
La prévalue qu’apportent les TICE au cours traditionnel pour certains sont l’animation, la motivation, le gain de temps, plus d’attractivités et d’interactivités.
L’ensemble de 95% des enseignants pensent que l’intégration des TIC est indispensable pour que l’enseignement soit efficace et apportera de l’intérêt à la matière.
Enfin, les enseignants ont voulu présenter quelques suggestions quant à l’intégration des TICE au Département des Lettres et Langues Étrangères formulées dans les points suivants :
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Dotation du département avec des équipements numériques tels que les laboratoire multimédia, vidéo projecteurs et connexion Internet dans les salles de cours.
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Valoriser les TICE par un volume horaire suffisant (travail collaboratif).
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Concevoir des salles équipées (wifi, pc, datashow fixe..etc.)
64 % d’étudiantes sont plus favorables aux questionnaires, peut être à cause de l’effectif féminin important inscrit en master.
50 % des étudiants ont un PC de bureau et un laptop mais 62 % disposent d’un Smartphone, ce qui favorise l’interactivité dans leur déplacement et 33 % possèdent des tablettes. Ces apprenants (88%), (52%), (5%) contrairement aux enseignants, utilisent respectivement windows, Androïde et l’Unix.
81% des étudiants accèdent à Internet depuis leurs domiciles, 53 % ont déjà une connexion 3G, et très peu d’entre eux accèdent aux services de l’université.
Il semblerait que la plupart des étudiants maîtrisent déjà les logiciels de traitement de texte contrairement aux tableurs qui restent loin de leur portée. Les problèmes liés à ce genre de logiciel se concrétisent lors des rédactions de mémoires et les présentations de données lors des soutenances. Le tchat et les moyens de communication sont les principaux outils où ces apprenants se trouvent à l’aise. Si ces outils sont largement utilisés, peu d’étudiants font l’effort pour acquérir des compétences linguistiques5.
Par ailleurs, 21% estiment qu’ils sont novices quant à l’utilisation de l’informatique et 74% ont un niveau acceptable mais uniquement 5.2% ont une bonne maîtrise.
83 % considèrent qu’Internet est une nécessité parce que les réseaux sociaux prennent de l’ampleur et les étudiants l’utilisent pour chatter ou être à jour (81 %). 70% voient que c’est un outil pour apprendre et se documenter sur des contenus disciplinaires.
Bien que la fiabilité de l’information sur le web pose problème, l’ensemble des étudiants 79% pensent être peu initiés à trouver la documentation désirée. La moitié de ce public pense que l’ouvrage et la documentation numérique sont de même valeur. Néanmoins, ils ignorent que le net offre des informations fluctuantes contrairement aux savoirs livresques. Ils justifient pour la plupart la facilité d’accès à l’information, le gain de temps et la possibilité d’afficher des contenus sur des supports multiples (PC, tablettes, Smartphones…).
La plupart des étudiants internautes (80 %) consultent des sites pour apprendre le français comme You tube, TV5, français facile, face book et quelques chaines de télévision ou de radio comme TV5 monde, france24, chaine 3 et Euronews.
(40 % préfèrent l’émission questions pour un champion de TV5 monde pour se cultiver et apprendre).
les équipements utilisés par les enseignants en classe de cours sont le PC et le vidéo projecteur qui sont présents à 81 %, 55 % valident la présence de sonorisation et ordinateur pour la projection de document audio à 7 % , la vidéo à 42 %, du texte à 44%, ce qui favorise la saisie et la compréhension des cours à 97 %.
L’équipement numérique pour la plupart 74 % n’est pas suffisant.
Une partie de ce public 28 % pense que les enseignants et les étudiants n’ont pas acquis une formation initiale pour utiliser les TIC et 48 % n’accèdent pas aux salles de machine et à la connexion.
Un taux de 62 % d’étudiants consulte le site de l’université. 84 % pour s’informer, 48 % pour télécharger des documents.
Presque plus de 82 % sont favorables à la diffusion de cours de langues via la plateforme Moodle ou un site du département, 60 % d’entre eux voient que l’échange avec les formateurs est garanti par l’accès rapide aux documents pour faciliter l’apprentissage, dépasser la timidité et s’entrainer au travail collaboratif.
La plupart des étudiants sont favorables à l’intégration de la matière TICE dans le cursus et répond parfaitement à leurs attentes du moment que plus de 92 % l’utilisent soit pour la recherche documentaire soit pour la rédaction scientifique et la maîtrise de logiciel pédagogique mais aussi pour l’enseignement à distance.
Les étudiants, pour la plupart ont souhaité avoir un département équipé d’une salle multimédia pour diversifier les pratiques pédagogiques, favoriser un enseignement différent plus attractif, plus motivant s’inscrivant dans l’approche actionnelle.
Le but de cette étude est réfléchir à des solutions afin de motiver les enseignants et les étudiants à intégrer les TIC dans les tâches pédagogiques et qu’aujourd’hui l’enseignement / l’apprentissage des langues ne peut échapper aux bouleversements qu’à générer ces technologies dans le secteur de l’enseignement et de l’éducation.
Il se trouve que les TICE favorisent le travail collaboratif et rendent l’apprenant plus motivant quant à l’acquisition du savoir (un accès facile et peu coûteux).
Le problème ne se pose pas à la maîtrise ou non de certains logiciels et plateformes. Assurer une matière de langues n’est pas une tâche difficile mais scénariser avec de nouvelles approches d’enseignement est l’enjeu réel qu’il faut soulever pour combattre l’échec.
L’écart observé entre l’appropriation des équipements et l’intégration des TIC dans l’enseignement des langues peut se réduire si les enseignants acquièrent des compétences par des formations en amont et décident de modeler leurs connaissances par une exploitation collective et non individuelle (Alwani et Soomro, 2010; Pelgrum et Law, 2004).
Nous pensons apporter une réflexion vis-à-vis des apports considérables de la technologie au sein d’un établissement de l’enseignement supérieur et nous croyons que la sensibilisation aux TICE peut ouvrir de nouvelles pratiques qui impliquent davantage l’accès aux cours de langues et favorise un apprentissage basé sur la construction des connaissances[ CITATION Nic12 \l 1036 ] .
Les enseignants devraient aussi acquérir des approches didactiques adéquates en vue de les enseigner à leur apprenants qui seront demain aussi des médiateurs [ CITATION Thi09 \l 1036].
RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES
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Triepke, S. (2009). Technologie de l’information et de la communication pour l’enseignement. L’intervention des nouveaux médias dans les classes du français langue étrangère. Edit.GRIN.
1 Le projet OUSTRATIC qui devait lier toutes les familles algériennes à Internet après 2010.
2 Un prof de lycée qui utilise avec ses élèves un dictionnaire numérique fera acquérir facilement des compétences lexicales.
3 Système national de documentation en ligne dédié aux enseignants et étudiants inscrits en doctorat et master.
4 Un ensemble d’applications sur un serveur que l’utilisateur utilise indépendamment d’une installation et un stockage local. Ici on parle de Googleforms intégrant Google drive.
5 Remarque observées lors des échanges avec les enseignants de matières ou les tuteurs.