Trans Internet-Zeitschrift für Kulturwissenschaften 15. Nr. September 2004
 

8.4. L'éducation multiculturelle ou Est-il possible de créer un espace culturel commun?
HerausgeberIn | Editor | Éditeur: Mirela Moldoveanu (Université d'Ottawa, Canada)

Buch: Das Verbindende der Kulturen | Book: The Unifying Aspects of Cultures | Livre: Les points communs des cultures


L'éducation interculturelle par les cours de FLE pour les étudiants de Sciences Sociales

Alice Ionescu (Université de Craiova, Roumanie)

 

Ma communication d'aujourd'hui est le fruit de trois ans d'expérience en tant qu'enseignant du français -langue étrangère chez les étudiants d'Histoire, de Philosophie-sociologie et de Sciences politiques de l'Université de Craiova, Roumanie, à laquelle s'ajoutent plusieurs témoignages des étudiants Erasmus sur leurs ratés/malentendus communicationnels survenus lors du contact direct avec la langue et la société française.

En partant de la prémisse que l'enseignement d'une langue vivante constitue souvent, pour les élèves issus de communautés ethniquement et linguistiquement homogènes, le premier contact avec une autre culture, nous nous proposons de démontrer que l'enseignement des langues dans une perspective interculturelle peut contribuer à poser les fondements d'une plus large ouverture vers le monde.

A l'heure de la construction communautaire et de la mondialisation, l'interculturel acquiert le statut d'une thématique majeure, aussi bien au niveau des sciences humaines qu'à celui de la formation. Enseignants et législateurs ont convenu (je cite un passage du "Cadre européen commun de référence pour les langues") que "la connaissance, la conscience et la compréhension des ressemblances et des différences distinctives entre le monde d'où l'on vient et le monde de la communauté cible sont à l'origine d'une prise de conscience interculturelle. [...]Cette prise de conscience interculturelle inclut aussi la conscience de la diversité régionale et sociale des deux mondes. Elle s'enrichit également de la conscience qu'il existe un plus grand nombre de cultures que celles véhiculées par la langue maternelle et par la langue-cible et cela aide à les situer toutes deux en contexte." C'est aussi l'avis de l'un des promoteurs reconnus de l'éducation interculturelle, le professeur F. Ouellet (1991): "L'exploration d'une tradition culturelle étrangère (et d'un autre système de communication, ajoutons-nous) peut contribuer à développer l'ouverture critique à la diversité culturelle." En fait, la plupart des auteurs reconnaissent aujourd'hui la valeur formatrice de l'exploration d'un univers culturel différent du notre. Pour les éducateurs et les élèves provenant de milieux culturellement homogènes, le biais (détour) de l'ouverture vers le monde s'est avéré utile pour introduire l'éducation interculturelle dans l'école.

Le terme d'éducation interculturelle regroupe plusieurs notions:

- l'éducation des minorités culturelles à l'intérieur d'un pays, respectivement celle de la majorité qui a un devoir de tolérance à l'égard des minorités;
- d'un autre point de vue, il concerne une nouvelle conception sur l'éducation;

C'est dans cette acception limitée que nous emploierons le terme d'éducation interculturelle.

Cette définition rejoint d'ailleurs le point de vue de M. Rey (1984): "Qui dit interculturel dit aussi, en donnant son plein sens au terme "culture": reconnaissance des valeurs, des modes de vie, des représentations symboliques auxquelles se réfèrent les êtres humains, individus ou sociétés, dans leurs relations avec autrui et dans leur appréhension du monde, reconnaissance de leur diversité, des interactions qui interviennent à la fois entre les multiples registres d'une même culture et entre les différentes cultures, dans l'espace et dans le temps."

L'éducation interculturelle ainsi comprise se propose de développer une compétence de communication interculturelle qui suppose à la fois la maîtrise de deux ou plusieurs langues et l'expérience de plusieurs cultures.

Parmi les objectifs de l'éducation interculturelle qui peuvent être atteints par l'enseignement du FLE, nous mentionnons:

  1. l'initiation des étudiants à la problématique de la culture du pluralisme et du relativisme dans la matrice de la modernité
  2. un deuxième objectif serait de créer une plus grande ouverture au monde, la conscience de l'interconnexion grandissante de tous les pays dans l'économie mondiale et leur contribution à la création d'un espace culturel commun;

- sensibiliser les étudiants aux différences culturelles en leur faisant prendre conscience des orientations culturelles spécifiques aux divers pays francophones de l'Europe, de l'Afrique, des Amériques ) (en spécifiant que la culture francophone ne se réduit pas à la culture française, si complexe qu'elle soit; il convient également de signaler la contribution des ethnies à la civilisation française contemporaine et de souligner la diversité du paysage ethnique actuel en France, discuter leur façon de vivre ensemble);

Pour réaliser ces objectifs, il faut évidemment faire place dans les programmes d'enseignement à la problématique des l'interculturel. Mais comme les institutions d'enseignement supérieur de Roumanie n'ont pas encore réagi à ces exigences du monde contemporain et qu'elles hésitent à ouvrir leur programmes de formation à la dimension interculturelle, européenne et internationale, il revient à l'enseignement des langues vivantes d'assurer cette ouverture et de développer chez les étudiants les compétences linguistiques et culturelles nécessaires à une communication effective et à la compréhension des faits de culture et de civilisation impliqués.

Il est évident déjà que la voie du perfectionnement purement linguistique est sans issue. Réduire la didactique des langues, comme on l'a fait malheureusement en Roumanie pendant des décennies, à une linguistique appliquée, c'est condamner les étudiants à ne pas aboutir à une capacité communicative réelle, parce que la communication est beaucoup plus riche que la langue réduite à son système formel.

Le principe fondateur de notre démarche didactique est celui que, pour l'apprenant, la langue étrangère n'est pas seulement un code qui lui permet d'exprimer ses idées et opinions, mais aussi partie intégrante d'une culture qu'il doit assimiler. On sait que parler une langue, c'est aussi exprimer la culture dont elle procède. C'est finalement l'ensemble des connaissances et des pratiques sociales qui constituent une culture donnée que véhicule l'univers langagier du discours.

Mais si la langue fait partie intégrante de la culture, inversement, la culture se présente tout d'abord sous l'aspect d'une langue. La langue est la clef de la culture et c'est par son intermédiaire qu'on peut y avoir accès.

Il en ressort déjà deux modalités d'appréhension et respectivement deux types de prise de contact de l'apprenant d'une langue étrangère avec la culture que celle-ci véhicule:

  1. la culture telle qu'elle se reflète dans la langue parlée par la communauté respective (vision du monde, éthos communicatif); autrement dit, nous croyons que les caractéristiques culturelles d'un peuple se reflètent dans ses pratiques langagières.
  2. le savoir socioculturel: la connaissance de la société française actuelle et de son histoire. En général, les connaissances antérieures à l'apprentissage de la langue sont partielles et parfois déformées par des stéréotypes.

Par conséquent, l'enseignant du FLE devrait se proposer à coté des objectifs linguistiques proprement dits, l'acquisition par les étudiants des éléments de culture et de civilisation propre à la communauté francophone de France, du Québec ou d'ailleurs. Nous plaidons donc pour un enseignement parallèle de la langue et de la civilisation. Nous signalons à ce propos quelques types d'activités qui favorisent une prise de conscience interculturelle:

- l'acquisition et la pratique des actes sociaux et des formules rituelles, qui se fera à travers des visionnements d'échanges authentiques ou fabriqués par les auteurs de méthodes de langue audio-visuelles, de scènes de films artistiques, etc. suivis de jeux de rôles;
- la lecture et la traduction des textes pragmatiques(1), suivies de débats sur les aspects socioculturels concernés par ces textes.

En ce qui suit nous nous proposons de présenter en détail ces activités, réparties en deux modules correspondant au niveau initial des apprenants.

 

I. Le module axé sur l'acquisition des compétences de communication (actes sociaux, échanges élémentaires) s'adresse aux débutants et aux "faux débutants" et vise à développer, à coté de l'acquisition des formules rituelles, les habilités nécessaires à l'usage de la langue en situation (règles de politesse et de savoir-vivre, choix adéquat du registre de langue, etc.)

Les règles de politesse varient d'une langue à autre et constituent la source fréquente de malentendus interethniques, en particulier quand l'expression de la politesse est prise au pied de la lettre (voir l'exemple hilare de l'automobiliste anglais répondant à l'auto-stoppeur français qui le remercie "Don't mention it" qui se voit rassuré par ce dernier: "D'accord, je ne le dirai à personne" ou bien le cas de la traduction littérale de la formule de politesse de l'anglais "I appreciate" par "J'apprécie" au lieu de "Merci".)

Selon C. Kerbat-Orecchioni les formules rituelles sont la trace d'une certaine logique culturelle sous-jacente. Par exemple, la formule de remerciement Merci du français, provenant du latin merceo se contente d'accuser réception d'un cadeau et d'exprimer quelque gratitude, tandis que le roumain Multumesc représente une bénédiction (la formule La multi ani a donné a multami). On peut donc avoir des indicateurs culturels dans les formules elles-mêmes. Mais il y a ensuite les rituels d'interaction, dont la méconnaissance peut perturber considérablement la communication et créer le quiproquo. Ex: en France, quand on salue une connaissance, il convient également de lui demander des nouvelles: Ça va ? Qu'est-ce que tu deviens ? Cependant, ce questionnement ne peut atteindre l'indiscrétion: la demande est formelle, la réponse généralement stéréotypée.

On voit donc que les rituels sont des éléments importants de la communication sociale et qu'entrer en contact avec un étranger sans connaître les règles de sa culture est tout aussi difficile et délicat que de ne pas connaître sa langue (c'est d'ailleurs la conclusion des étudiants Erasmus roumains, bons connaisseurs du système linguistique mais ignorants en grande partie des règles sociales).

Nous passons en revue quelques types d'échanges rituels afin de mettre en lumière les divergences de structuration et d'emploi en français et en roumain et afin de rendre compte des sources les plus fréquentes d'erreurs énonciatives.

Les salutations

Les formules d'ouverture - peuvent se différencier selon le moment de la journée:

  Fr. Roum.
a) pour le matin Bonjour. Buna dimineata.
b) pour l'après-midi Bonjour. Buna ziua.
c) pour le soir Bonsoir. Buna seara.

En roumain il existe aussi des formules, relevant du registre de langue soigné, qui neutralisent l'opposition du moment temporel: Sa traiti! (adressée aux hommes) et Sarut mâna! (adressée aux femmes) -fr. Bonjour/Bonsoir et au niveau familier Salut ou Servus -fr. Salut.

Les sources potentielles d'erreur sont l'absence de distinction en français entre les moments temporels "matin" et "après-midi", d'où la production d'énoncés comme *Bon matin ou la tentative de traduire en français les expressions très polies Sa traiti! (initialement formule de voeu) ou Sarut mâna ("Je vous baise la main").

De même, les questions Ça va ? Comment allez-vous ?, expressions de la politesse "à la française", peuvent être remplacées par Qu'est-ce que tu fais ?/ Qu'est-ce que vous faites ? sous l'influence du roumain (Ce mai faci/faceti ?)

En ce qui concerne les formules de clôture, on remarque que le français présente plus de variété que le roumain:

  Fr. Roum.
Niveau Au revoir! La revedere!/ Buna ziua.
soigné A bientôt! Pe curând!
(formule employée surtout à l'écrit)
A tout à l'heure! Pe curând!
  A demain! Pe mâine!
  A lundi! Pe luni!
  A la semaine prochaine! Pe saptamâna viitoare!
Niveau A plus tard! A plus! Pa!
familier Tchao! Ciao!

Les échecs qui peuvent surgir en situation interculturelle proviennent du choix inadéquat des formules (par ex. dire Bonjour! au lieu de Au revoir!) ou de la méconnaissance du registre de langue (par ex. reproduire la formule A plus! entendue dans le milieu étudiant pour prendre congé d'un professeur).

Formules de souhait

Fr. Roum.
Bonne nuit! Noapte buna!
Bonne journée! O zi buna!
Bon voyage! Drum bun!
Bon courage! Spor la lucru!
Bonne année! La multi ani!
Bon anniversaire! La multi ani!
A votre santé! Noroc!
A vos souhaits! Noroc!

Les ratés peuvent être dus à l'inadéquation des formules à la situation sous l'influence du roumain. Par ex., dire Bonne année! au lieu de Bon anniversaire! ou Santé! au lieu de A vos souhaits!

Formules de remerciement

  Fr. Roum.
Actes Merci (beaucoup/bien/de tout coeur) Multumesc (mult/foarte mult/din suflet)
directs (Monsieur/Madame/jeune homme/Pierre) (domnule/doamna/tinere/Petre)

(fam.)

Merci infiniment! Mersi mult!
Merci, hein ? Mersi!
Actes Vous êtes gentil. Sunteti dragut.
indirects C'est vraiment gentil de votre part. Ce amabil din partea dvs!
Je vous sais gré de votre amabilité/aide. Va sunt indatorat/recunoscator pentru...

Réponses aux remerciements:

(neutre) Il n'y a pas de quoi. Nu aveti pentru ce.
(poli) Je vous en prie. Cu placere.
(fam.) De rien/Ce n'est rien. Pentru putin.

Les ratés peuvent être de l'ordre du niveau de langue inadéquat ou de l'emploi des calques: Ex. dire *Pour peu au lieu de Il n'y a pas de quoi.

L'excuse - permet de voir ce qui est considéré comme offense dans les différentes cultures, mais c'est une question oui intéresse plutôt les ethnologues que les didacticiens; nous passerons donc directement aux réalisations linguistiques dans les deux langues:

Fr. Roum.
Pardon! Scuzati!
Excusez-moi! Scuzati-ma!
 Je vous prie de m'excuser. Va rog sa ma scuzati!

La réponse vise généralement à minimiser l'offense:

Fr. Roum.
Ce n'est rien. Nu-i nimic.
Je vous en prie. Nu aveti de ce.

Les étudiants roumains questionnés ont avoué que l'emploi de la deuxième formule les avait intrigués parce qu'ils ne savaient pas si l'échange était clos ou bien ils devaient présenter d'autres excuses.

Les actes de requête ou de demande d'information sont généralement introduits par des formules très polies. Parmi les formules de politesse spécifiques au français nous mentionnons l'expression indirecte de la requête et l'emploi du conditionnel de politesse:

S'il vous plait, Madame/Monsieur, ...

Pourriez-vous ...

Le roumain est moins formel (la requête peut entre exprimée directement) ou emploie des formules différentes (Nu va suparati, ...). Ces différences de structuration peuvent constituer des sources d'échec pour les débutants (par exemple, commencer une requête par: Ne vous fâchez pas, Monsieur...)

L'usage et le choix des termes d'adresse et des honorifiques, marqueurs des relations sociales, pose bien des problèmes aux étudiants roumains séjournant pour la première fois sur le territoire français.

  Fr. Roum.
Registre Votre Excellence Domnule Ambasador
officiel Monsieur le Recteur Domnule Rector

Monsieur/ Madame (le professeur) Domnule profesor /Doamna profesoara
formel Monsieur, Madame, Mademoiselle Domnule, Doamna, Domnisoara
informel Jean! Père Martinet! Ioane! Mot Nicolae!
familier: Chéri(e), mon chou, mon vieux Draga, scumpule /scumpo, batrane
autoritaire: Nom de famille seul Ionescule!

On pourrait qualifier de "sociopragmatiques" tous ces ratés dont la source n'est pas purement linguistique, mais relève de la situation de communication, du rapport entre les interlocuteurs ou de l'ethos communicatif de la société en question (style communicatif proche ou distant, facilité avec laquelle les locuteurs utilisent des formes d'adresse familières et donnent accès à leur territoire privé, etc.)

Par conséquent, nous recommandons que l'acquisition du système linguistique soit doublée par l'assimilation des éléments extralinguistiques qui font partie des échanges rituels.

Afin de transmettre ce savoir socioculturel complexe, l'enseignant du FLE doit posséder lui-même une expérience interculturelle et internationale. C'est pourquoi nous jugeons indispensables les stages en pays francophones.

II. Le deuxième module, adressé aux étudiants qui possèdent déjà un bon niveau de français, sera centré sur des aspects de civilisation et sur l'acquisition d'un vocabulaire de spécialité en français. La problématique débattue en classe de FLE constituera une approche critique des phénomènes sociaux et culturels français à travers des documents et des formes d'activité qui incitent les étudiants à y réfléchir. Ainsi, nous avons choisi d'exploiter en classe des documents qui les feraient réagir par les thèmes proposés: des articles de revues de spécialité (L'Histoire, Sciences Humaines), des articles de journaux d'actualité et de commentaire politique (Le Monde, Le Point, Le Figaro).

Les difficultés surgies lors des activités proposées (lecture, traduction, débats) ont mis en évidence le fait que, pour comprendre ces textes, l'apprenant doit maîtriser l'information extralinguistique ou se l'approprier par des recherches documentaires laborieuses.

Les aspects socioculturels qui posent des difficultés aux étudiants roumains sont: la méconnaissance de la réalité sociale, politique et culturelle de la France actuelle, la non compréhension des références implicites, des allusions à des événements historiques ou à des réalités spécifiques à l'espace français ou francophone. Par exemple, des expressions telles: "la gauche caviar", "le pouvoir rose", "les ballets roses", "les trois S", "les pieds-noirs", "BCBG" (bon chic bon genre) ou "bobo" (bourgeois bohèmes). Il leur est également difficile de percevoir toutes les nuances d'un message, de saisir non seulement ce qui est dit de façon explicite, mais aussi ce qu'on exprime de manière implicite.

Nous recommandons, lors des ateliers de traduction et d'analyse de documents écrits, l'introduction et l'explication préalable des concepts extralinguistiques impliqués, la saisie des lieux communs et des aspects socioculturels présents dans les textes afin d'assurer le maximum de compréhension.

 

Conclusion

Notre expérience d'enseignant du FLE chez les étudiants des Sciences Sociales, ainsi que les témoignages des étudiants Erasmus sur leur premier contact direct avec la société française nous autorisent à conclure que l'apprentissage d'une langue étrangère ne peut se faire sans l'assimilation parallèle de la culture (dans le sens le plus large) du pays en question.

Les activités de traduction et d'analyse de textes ont mis en évidence le fait qu'une bonne maîtrise d'un deuxième (troisième) système de communication suppose une bonne connaissance de la société et de la culture du peuple respectif. L'exploitation des documents portant sur divers aspects de la société française contemporaine ou sur son histoire a nécessité la création d'une base de données socioculturelles.

Les bénéfices d'une approche interculturelle dans l'enseignement: l'apprentissage des langues ont été reconnus par les étudiants eux-mêmes: une plus grande ouverture conceptuelle, référentielle et internationale.

© Alice Ionescu (Université de Craiova, Roumanie)


CITES

(1) Autres types de textes que le texte littéraire: historique, scientifique, journalistique, pédagogique, publicitaire, etc.


BIBLIOGRAPHIE

Conseil de la coopération culturelle. Comité de l'Education, Division des langues vivantes, 2000, Cadre européen commun de référence pour les langues: apprendre, enseigner, évaluer, Strasbourg

Kerbrat-Orecchioni, 1994, Catherine, Les interactions verbales, Tome 2, Armand Colin, Paris

Ouellet, Fernand, 1991, L'Education interculturelle: essai sur le contenu de la formation des maîtres, L'Harmattan, Paris

Philipp, Marie-Gabrielle (dir.), 1992, De l'approche interculturelle en éducation: compléments aux actes de l'université d'été, Strasbourg (15-21 juillet 1992): quelle éducation interculturelle? Pour quelle intégration ?

Rey, M., (dir.), 1984, Une pédagogie interculturelle. Commission nationale suisse pour l'UNESCO, Berne

Scurtu, G., Radulescu, A., 2001, Enoncés portant sur les échanges de nature rituelle: divergences de structuration et d'emploi en français et en roumain, in Information grammaticale 91, oct. 2001

Scurtu, G., Radulescu, A., 2002, L'expression de la relation interpersonnelle de politesse. Divergences de structuration et d'emploi en français et en roumain, in Information grammaticale, oct. 2002


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